Texte libre

Je vous fais le récit de mes expériences, elles sont pour la plupart réelles, seuls les noms ont été changé pour des raisons que vous comprendrez.

J'ai décidé d'écrire mes histoires pour montrer que les jeunes femmes n'ont plus à avoir honte d'aimer le sexe, car malgré ce que les mecs peuvent dire, nous aussi aimons le sexe, et j'ai envie que cela se sache!

Je vous raconte tout!

 Annonce: Les histoires d'une fille plus très sage
Samedi 6 janvier 6 06 /01 /Jan 22:36

Vive les mariés,

 

 

 

Je sais que je vais enlever tout suspens et en décevoir quelques- uns mais non ce n’est pas mon mariage !

 

Nous étions partis en week- end dans la ville natale d’ Erwan pour assister au mariage d’amis  à lui.

 

 

Les parents des futurs mariés avaient réservé une maison complète pour tous leurs amis afin qu’ils puissent se retrouver avant la cérémonie et comme de toute façon les enterrements de vie de célibataires ce faisaient ensemble autant que nous dormions tous ensemble.

 

 

Erwan et moi étions l’un des premiers couples arrivé dans la maison, la mère de la future mariée nous accueillit, et nous installa dans une chambre, qui était le privilège des couples, les célibataires résidant dans des sacs de couchages dans le salon et nous donna l’adresse de la soirée où rejoindre le reste des invités.

 

 

Il devait bien être 1h30 du matin quand des bras sont venus m’enlacés alors que je dansais, et bien sûr maintenant ce n’est plus une surprise pour vous, François venait de débarquer au sens propre comme au figuré, car il venait direct de l’aéroport pour assister au mariage, là encore Erwan s’était bien caché de me le dire.

 

J’étais folle de joie de son retour, je voulais l’embrasser, sentir son parfum dont seul lui a le secret, mais tout le monde nous regardait, car bien sur tout le monde attendait son retour.

 

Alors que je sentais que lui aussi, il lui pressait de me tenir dans ses bras, il me fit de simples bises amicales, enlaça tout de même son vieil ami d’enfance, puis fit le tour de l’assistance afin de les saluer et féliciter les mariés.

 

Une heure passa avant que je le revis faire surface auprès d’Erwan et moi. Il s’approcha de nous en soupirant et déclarant que les mondanités n’étaient vraiment pas sa tasse de thé et que pour ça il regretter l’Afrique !

 

Sur ce, il étreignit à nouveau Erwan, il demandant si encore une fois cela avait été une totale surprise, ce dernier lui répondit que oui qu’il en avait pas dit un mot, puis François me regarda longuement, puis balaya du regard la salle dans laquelle nous étions, et contre toute attente, il demanda à Erwan de le couvrir, je ne comprenais pas vraiment que cela signifiait jusqu’à ce je vois Erwan se mettre devant nous, et François qui fit mine de se servir au buffet, mais en réalité se pencha sur moi pour m’embrasser enfin. Ce baiser avait le goût de l’interdit et de l’excitation. Il se redressa remerciant son compère de toujours puis m’invita à danser. C’était notre première sortie à trois, mais ça personne ne le savais et d’ailleurs on ne voulait pas que cela se sache. Donc nous dansions à deux ou trois sur des musiques plus ou moins chaudes, je retrouvais cette sensation d’être désirer par les deux garçons que j’aimais (maintenant j’en étais sûre). Cela se traduisait par les caresses que la morale autorisait d’Erwan mais aussi des mots doux susurrés à l’oreille par François qui finissaient par me mettre dans un état d’excitation telle que je commençais à avoir les tétons de mes seins qui me faisaient mal.

 

Puis, les garçons m’abandonnèrent sous prétexte de ne pas éveiller les soupçons, ils partirent à deux, faire le tour de l’assemblée pour embêter quelques célibataires.

 

Quelques minutes plus tard je revis François tenant une jeune femme par la taille et venant me la présentée, au simple fait qu’il avait des gestes familiers avec elle suffit à piquer ma jalousie au vif, mais quand il me la présenta en tant qu’ex- petite- amie, cela finit son l’œuvre.

 

Au bout de quelques minutes je réussis à me trouver une excuse pour leur échapper afin de rejoindre mon compagnon officiel. J’en profitai pour lui demander un complément d’information sur la fille que François m’avait présenté et profita pour lui demander jusqu’où ils avaient été avec elle.

 

Erwan me rassura, me déclarant que celle- ci fut l’exclusivité de François ne plaisant pas à Erwan et que finalement elle ne plaisait pas tant que ça à François et que c’était l’une des raisons pour laquelle cela n’avait pas marché entre eux, puis il me sourit de son air condescendant me déclarant :

 

« Ne t’inquiètes pas, on ne te proposera pas de plan à quatre ! »

 

Ce qui me fit sourire de soulagement.

 

 

Il se faisait maintenant bien tard et la cérémonie se déroulait tôt le lendemain donc je proposai à Erwan de rentrer qui aussitôt signe à son Compère qu’il était temps pour nous de rentrer. François décida de rester un peu avec l’assistance toujours sous prétexte de garder notre secret intact, donc nous rentrâmes à deux.

 

 

J’étais fatiguée de la route de l’après-midi, de la soirée que l’on venait de passer mais aussi rien qu’à la pensée de la journée que nous allions passés le lendemain. Donc même si j’étais un peu déçue que François ne soit pas rentré avec nous, j’étais contente de pouvoir me coucher et poser ma tête sur l’oreiller.

 

 

Malheureusement peu de temps après notre retour et le coucher, les murs étant très fins et donc pas très insonorisés, nous entendions tout le monde rentré au compte goutte. Cela n’aider pas vraiment au repos. Erwan cherchant le sommeil lui aussi finit par se lever et alla se chercher de l’eau. A ma grande surprise ils furent deux à revenir, et il ne fallait pas être devin pour connaître la seconde personne.

 

 

Ils rentrèrent donc en douce dans la chambre, François se pressa de venir m’embrasser, ce baiser était si vorace et fougueux que j’en perdais mon souffle.

Erwan enleva son pyjama qu’il avait mis par égard des congénères de la maison, puis quand François relâcha son étreinte, il me déshabilla sous les yeux de son compère qui me découvrit nu comme si c’était la première fois.

 

 

J’étais heureuse finalement qu’il soit là, mais je me posais des questions sur le moment et le lieu, car jusqu’à présent nous entendions encore les personnes revenir de la soirée et se coucher donc si nous les entendions, eux nous entendraient à leur tour et notre précieux secret volerait en éclat.

 

Je manifestai donc  mon désaccord, (une fois n’est pas coutume) ce qui étonna mes deux amants, je vis alors le visage de François se crisper comme s’il était pris d’une vive douleur.

 

Ils n’étaient pas du genre à insister par correction mais je devinais sa déception, mais il ne dit rien et ils se couchèrent tous deux à mes côtés.

 

Ce que je n’avais pas prévu, c’est que leur dire non, vaudrait à me punir aussi, et sentir leur deux corps collés à moi sans qu’il ne se passe rien était une torture pour moi, et je ne suis pas du genre à supporter très longtemps les tortures.

 

Donc je me mis à baiser les épaules de François qui me tournait le dos, tout en caressant les cuisses d’Erwan qui s’empressa de m’embrasser le cou et me lécher le lobe de l’oreille, et je ne tarda pas à sentir quelque chose poussé au creux de mon dos, seulement François ne réagissait pas, ce qui me poussa à me demander s’il dormait déjà, et si c’était le cas : comment pouvait-il dormir alors que je suis à côté de lui nue alors que l’on ne s’est pas vu depuis plus de trois mois ?

 

Mais soudain, il se retourna en souriant et déclarant :

 

 « Tu en as mis du temps ! »

 

Puis il m’embrassa avec la même fougue que précédemment. Cette fois je pouvais sentir leur désir tout contre moi l’un dans mon dos et l’autre pile là où je le voulais.

 

Pendant que François, goûtait  mes tétons et me caressait avec précaution, Erwan me mis deux de ses doigts dans la bouche afin que je lui suce, puis les retira et je sentais ses doigts humides se fendre en moi.

Rien qu’à cette simple pénétration je voulais gémir mais Erwan me mis une main sur la bouche par précaution. Tout d’abord je ne compris pas pourquoi il avait fait cela quand je me rappelai où nous étions et me souvins que les murs étaient très fins. Je comprenais alors que je devais maintenir le silence. Lorsqu’ Erwan aperçut à son tour que je serais docile il me lâcha puis retira les doigts qui étaient en train de me parcourir au plus profond de moi pour y engouffrer sa langue.

Voyant que j’avais énormément de mal à réprimer les gémissements de plaisir qui me monter à la gorge, François pris l’initiative de me remplir la bouche avec son pénis, son gland me fendit les lèvres sans mal, puis je me mis à le sucer comme un enfant sucerait une tétine, sauf qu’au bout de ma tétine à moi, il y avait un gaillard qui se mordait les lèvres pour ne pas faire du bruit et serrait de toute ses forces les barreaux du lit. C’était quelque peu rassurant que je ne sois pas la seule à avoir du mal à retenir mon excitation.

 

Erwan lui étant moins en manque que François eut plus d’aisance à cet exercice.

 

Je ne sais pas si c’est le fait de ne rien pouvoir exprimer qui amplifier mon excitation, ou la performance de mes deux amants qui jouaient avec cette interdiction formelle de faire du bruit, mais tous mes sens en étaient décuplés et mon plaisir d’autant plus grand.

 

Alors que chacun de mes sens vibrer au rythme de mon orgasme naissant, François prit la place d’Erwan, laissant de ce fait ma bouche libre, n’attendant que ça pour extérioriser mon désir, Erwan prit les devant et s’empressa d’y enfourner son membre qui avait le goût de mon intimité en me disant tout bas :

 

«  Je suis désolée Bébé, j’aurais aimé t’entendre hurler que tu en voulais encore mais la c’est pas possible »

 

Si je n’avais pas était au bord de l’orgasme cette réflexion m’aurait fait rire, mais à ce moment je n’en avais aucune envie, pire je lui donnais raison, ce qui fit sourire Erwan.

 

François luttait aussi pour retenir ses râles rauques et pour pouvoir supporter un peu mieux l’excitation de la pénétration ralentit la cadence de ces mouvements, il était lent dans tous ses gestes, ce qui contrasta avec les mouvements d’Erwan qui lui augmentait la cadence dans ma bouche.

 

Je ressentais le besoin de gémir, de crier, de jouir tant j’en ne pouvais plus mais alors que j’allais embarquer pour le point de non retour tout deux s’arrêtèrent, l’un de plaça sous moi, François toujours en dessus se chargea d’humidifier cette zone qui fut oublié jusqu’alors mais qu’Erwan était bien déterminé à ne pas abandonner : mon anus.

 

François l’effleura avec douceur, puis y introduisit un doigt pour vérifier qu’il était assez lubrifier pour accueillir son compagnon de plaisir, sa tache achevée il plaça lui- même le pénis d’Erwan dans mon orifice maintenant béant, son autre main était placée sur ma bouche, tout deux connaissaient à présent mes points faibles et les réactions que chacune de leurs actions pouvaient provoquées sur moi, et ils avaient raison, cette pénétration m’avait arraché un gémissement qui aurait réveillé toute la maison.

 Une fois la surprise de cette intrusion anale passée, François investit mon vagin à nouveau, couché sur moi, gardant par précaution une main pour me bâillonner, tout deux entreprirent des mouvements lents et cadencés. Gardant les yeux fermés pour d’une part rester concentrée sur mon silence, mais d’autre part pour ressentir ces pénétrations au plus profond de moi.

J’étais bluffée par la résistance de François qui semblait à présent souffrir, les yeux fermés, toujours allongeait sur moi je le sentais fébrile, tremblant, il était trempé mais cela ne faisait j’aimais les sentir contre moi malgré le poids de François sur moi, j’aimais sentir leurs odeur se mêlaient, leur sueur sur moi.

 

Toutes ces sensations, les va et vient, les caresses d’Erwan qui ne cessait de me stimuler à différents qu’il savait faire mouche, une décharge électrique s’empara de mon corps, François renforça la pression  de sa main sur ma bouche pour qu’aucun son ne filtre, mais cela fut en vain car des gémissements s’échappèrent tout de même.

Erwan en voyant que ma jouissance était si forte que rien ne pouvait l’empêcher de s’exprimer, estima qu’il avait fait son devoir ne voyait plus de raison de se retenir plus longtemps et se mit au dessus et moi pour se libérer sans attendre, François lui passa son pénis encore mouillé sur mes lèvres, que j’entrouvris pour l’accueillir et ne tarda pas non plus à manifester son plaisir.

 

 

Deux minutes se passèrent mais je tremblais encore à chaque effleurement, je mis un certain temps à calmer les spasmes pelviens qui me traversaient.

 

Puis nous nous endormîmes tous les trois, moi au milieu toujours sous les caresses attentionnées  de mes amants.

 

Le lendemain, je me réveillais seule, n’ayant pas entendu mes deux hommes se lever, je me levai à mon tour pour les retrouvés à la table du petit déjeuner entourés d’autre convive, donc une fois de plus, nous reprenions notre jeu «  nous sommes amis mais sans plus », qui était assez stimulant je l’avoue.

 

 

 

Par melissa - Publié dans : une fille serieuse
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